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Página:Poesías (A. Berro).djvu/207

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A D. ANDRÉS LAMAS



Je ne demande plus á la muse que j'ahme
Q'un seul chant pour ma mort, solennel et supréme;
Plutót que je n'ai dû je reviens dans la lice
Mais tu le veux, ami! ta muse est ma complice.
J'unis donc â tos chants quelques chants téméraires.
Prends ton luth ímmortel, nous combattrons en fréres
Pour les mêmes áutels et les mêmes fóyers.

Víctor Hugo




De hastío el alma y de pesares llena
Busqué en el ocio la deseada paz,
Y del laud que acompañó mi pena
Rompí las cuerdas y dejé el cantar.