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Je ne vous ressemble pas. Je vous suis toujours atraché, je vous serais toujours attaché, ne fut- ce que pour vous faire enrager.
Me voici aux lieux ou vous avez respiré, ce qui serait une raison, pour moi, d'y mieux respi- rer, s%il w'était possible d'étre heureux loin de mes amis.
Vous avez quw'une chose a faire, c'est de ve- bir couler tranquilement vos jours dans une charmante petite maison que je vais arrangerá Botafogo.
Si tant de bonheur ne m'est promis, j'espere, au moins, que vous compterez sérieusement sur moi, comme sur un véritable ami, et que vous se- rez bien persuadée du bonheur que j'éprouverais á vous revoir.
Adieu, ne m'oubliez pas, je ne suis pas heu- reux et j'ai besoin de croire qu'il reste sur cette terre quelques personnes qui s'intéressent encore á moi.
Adieu.
Baron Picolet d* Hermillon.
Conocidos estos hechos, que iluminan con
viva claridad los más íntimos repliegues de
